Les mairies

               

 

La plus ancienne des maisons communes connues se trouvait dans la Riotte, et ce, au moins jusqu'en 1840 (au vu du "Plan d'allignement" de cette époque). Cette bâtisse appartenait initialement au curé Jacques CORDIENNE qui l'a habitée jusqu'à son décès. Devenue libre de tout occupant, elle fut achetée en 1828 par la Commune à ses héritiers afin d'y loger la Mairie qui avait été provisoirement installée dans la nouvelle cure puisque non occupée par le curé CORDIENNE. 



La Mairie fut ensuite transférée dans le bâtiment encore existant rue principale (départementale Jussey-Vitrey), face à l'intersection de celle-ci avec la rue de " la Riotte " et du " Chemin du Cornot " ( photo ci-dessous).



 


(Août 2013)

 

Plus tard, cette grande bâtisse fut vendue à un particulier du village et l'école, l'instituteur et l'administration communale s'installèrent dans le bâtiment actuel dit "de la Mairie", sur la place près de l'église .


 


(Mai 2014)

 

Quelques uns des Maires ayant exercé leur mandat au village :

 
  • (x) CERCOY (vers 1840)

  • Marcel CORDIENNE

  • (x) JOSSE 

  • (x) PIROT

  • Albert CHEVALOT

  • Emile CHAMPONNOIS

    Ernest MIGNOT

  • Pierre JANIN

  • Gilbert MAILLARD

  • Patrick SIMONIN (en cours de mandat)



 

L' Administration communale de l'Ancien Régime.

 

Avant la Révolution, il n'existait pas d'entité comparable à la Commune et le plus petit niveau d'administration était la paroisse.

 

Le curé du village a longtemps été l'interlocuteur essentiel sachant que d'une manière générale le Clergé et seulement quelques rares notables possédaient « l'instruction ».

 

C'est ainsi qu'en 1539, François Premier, donna au prêtre la charge de tenir le registre des baptêmes, des mariages et des décès survenant dans sa paroisse.

 

Les habitants du village se réunissaient cependant dès qu'une décision concernant l'ensemble de la communauté devait être prise (comme par exemple l'usage des terres agricoles), mais il n'y avait pas d'entité permanente représentative. Ces réunions informelles avaient généralement lieu sous le porche de l'église mais très souvent, et à une époque plus reculée, c’était le seigneur local (à Saint-Marcel : le Prieur) qui devait intervenir directement dans le traitement des affaires du village.




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